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Les signes avant-coureurs qu’il faut prendre en compte pour dépister à temps un AVC !

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La prévention des AVC nécessite non seulement de comprendre les facteurs de risque, mais aussi les signes avant-coureurs. Ainsi, près d’un tiers des accidents ischémiques à long terme sont précédés d’accidents ischémiques transitoires dont plusieurs symptômes se montrent très brefs.

Prévention des accidents vasculaires cérébraux : des attaques ischémiques transitoires qui ne doivent pas être ignorées #

L’accident ischémique transitoire (AIT) est un type d’accident vasculaire cérébral qui a des symptômes très souvent furtifs (peuvent passer inaperçu).

Cependant, ils constituent de vrais signes avant-coureurs, car environ un tiers des accidents ischémiques de longue durée ou des infarctus cérébraux surviennent avant de tels événements. Les symptômes de l’AIT sont de courte durée, par définition inférieurs à 24 heures :

  • Plusieurs troubles de l’équilibre ;
  • Barrières linguistiques, difficulté à parler ;
  • Perte de vision soudaine et unilatérale ou diplopie ;
  • Paralysie d’un membre ou d’un côté…

Ces maladies disparaîtront sans aucune conséquence. En revanche, l’arrivée d’un ou plusieurs AIT peut augmenter significativement le risque avéré et durable d’AVC. Ce risque est très souvent accompagné de maladies qui durent plus de 24 heures et pouvant causer des séquelles physiques et/ou intellectuelles.

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D’après l’American Heart Association, les personnes atteintes d’un ou plusieurs AIT sont 9,5 fois plus susceptibles d’avoir un AVC que les personnes du même âge et du même sexe qui n’en ont jamais souffert.

Par conséquent, ces signes ne sont pas à négliger. Bien qu’ils reviennent rapidement à la normale, ces AIT constituent une véritable urgence et vous devez consulter votre médecin le plus tôt possible pour avoir le traitement. Quelques accidents vasculaires cérébraux hémorragiques précèdent une céphalée diffuse soudaine (maux de tête) et sont très sévères.

Signes avant-coureurs d’un AVC : connaissez-les pour pouvoir réagir rapidement #

Il est très important de connaitre les signes avant-coureurs d’un AVC, car la survenue d’un AVC peut créer plusieurs complications.

Connaitre les premiers symptômes aide à réagir le plus rapidement possible. Les premières heures après un AVC sont critiques, car elles peuvent limiter le degré de lésion cérébrale et donc la sévérité des séquelles.

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Malgré que les signes varient en fonction de l’emplacement de la lésion et de la taille de la zone touchée, certaines caractéristiques sont les mêmes que les premiers signes d’un AVC.

Parfois pendant le sommeil, il est possible que ces symptômes apparaissent soudainement ou, au contraire, devenir évidents en quelques minutes ou quelques heures.

Les symptômes les plus fréquents #

Certains des symptômes d’AVC les plus fréquents comprennent :

  • Des faiblesses au niveau des muscles ou un engourdissement au niveau du visage, des bras ou des jambes. La paralysie du bras et de la jambe est souvent présente (en fait du côté opposé à la lésion cérébrale) ;
  • Plusieurs troubles visuels pouvant se manifester de plusieurs façons : problème de la vision d’un œil (black-out), problème sur la moitié du champ de vision ;
  • Des problèmes de langage qui entraînent une incapacité à s’exprimer correctement (dysarthrie), une incapacité à parler (aphasie), une mauvaise expression ou une mauvaise compréhension des mots.

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