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Potentiel candidat à l’élection présidentielle de 2022, Éric Zemmour entend supprimer le permis à points et restaurer la limitation à 90 km/h sur les autoroutes. C’est ce dimanche dans le « Grand débat » qu’il a annoncé son intention, tout en indiquant que concernant sa candidature, sa décision « était prise ».
Un racket organisé par l’état #
« Depuis 10 ans, on ne cesse d’emmerder les Français avec les taxes, les voitures qui n’entrent plus dans les grandes villes », a estimé Éric Zemmour ce dimanche lors du « Grand débat » organisé par LCI, RTL et Le Figaro. Il a donc annoncé son intention de supprimer le permis de conduire de permis à points, ce qu’il qualifie d’un « racket organisé par l’État ».
Niant toute empreinte de « démago » dans sa déclaration, le polémiste et probable à l’élection présidentielle a cité en exemple des « pays comme la Suisse, la Suède, la Finlande qui n’ont pas de permis à points, mais moins d’accidents que nous et de morts sur les routes ». « Il faut supprimer le permis à points. Le stage de récupération de points, qui coûte en moyenne 300 euros, est non seulement infantilisant, mais il est aussi un racket organisé par l’État », a-t-il insisté.
En outre, une autre mesure ayant trait aux automobilistes que Zemmour a soulignés ce dimanche dans « Le Grand débat » concerne la reconsidération de la vitesse sur les autoroutes. Le polémiste « remettrait (la limitation à) 90 km/h sur (toutes) les routes nationales », contre 80 km/h actuellement. « J’ai toujours trouvé que les limitations de vitesse sur les autoroutes étaient inutiles », a-t-il affirmé.
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Candidat ou pas candidat : sa décision est prise #
Selon le polémiste, « Depuis 10 ans, on ne cesse d’emmerder les Français avec les taxes, les voitures qui n’entrent plus dans les grandes villes. (…) Plus l’État est faible avec vrais délinquants, les trafiquants, les types qui font des rodéos motorisés dans les banlieues, plus il est dur avec les automobilistes, véritables vaches à lait ». Il souhaite de même mettre fin au droit accordant aux maires le privilège d’imposer les 30 km/h dans les villes comme « Anne Hidalgo qui rend la vie impossible aux Français ».
En ce qui concerne sa candidature, sa « décision est prise », et dans sa tête, alors qu’il se réserve le droit de communiquer là-dessus. Refusant de se déclarer à nouveau ce dimanche, il assure néanmoins que s’il y va, « c’est pour gagner ».
Coup de flèche décoché à sa concurrente de droite : la candidate soutenue par le Rassemblement national. « Marine Le Pen a enfermé ses électeurs dans un ghetto politique. Voter pour elle ne sert à rien. Elle ne peut pas gagner la présidentielle, car elle ne veut pas s’allier avec une partie de la bourgeoisie », a-t-il lancé.
Il revient alors sur sa candidature qui est une décision « qui murit [sa] tête. Quant à Marine avec qui elle se trouve au coude à coude dans les sondages, « elle ne peut pas gagner », et « voter pour elle ne sert à rien ».
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Potentiel candidat à l’élection présidentielle de 2022, Éric Zemmour entend supprimer le permis à points et restaurer la limitation à 90 km/h sur les autoroutes. C’est ce dimanche dans le « Grand débat » qu’il a annoncé son intention, tout en indiquant que concernant sa candidature, sa décision « était prise ».
Un racket organisé par l’état #
« Depuis 10 ans, on ne cesse d’emmerder les Français avec les taxes, les voitures qui n’entrent plus dans les grandes villes », a estimé Éric Zemmour ce dimanche lors du « Grand débat » organisé par LCI, RTL et Le Figaro. Il a donc annoncé son intention de supprimer le permis de conduire de permis à points, ce qu’il qualifie d’un « racket organisé par l’État ».
Niant toute empreinte de « démago » dans sa déclaration, le polémiste et probable à l’élection présidentielle a cité en exemple des « pays comme la Suisse, la Suède, la Finlande qui n’ont pas de permis à points, mais moins d’accidents que nous et de morts sur les routes ». « Il faut supprimer le permis à points. Le stage de récupération de points, qui coûte en moyenne 300 euros, est non seulement infantilisant, mais il est aussi un racket organisé par l’État », a-t-il insisté.
En outre, une autre mesure ayant trait aux automobilistes que Zemmour a soulignés ce dimanche dans « Le Grand débat » concerne la reconsidération de la vitesse sur les autoroutes. Le polémiste « remettrait (la limitation à) 90 km/h sur (toutes) les routes nationales », contre 80 km/h actuellement. « J’ai toujours trouvé que les limitations de vitesse sur les autoroutes étaient inutiles », a-t-il affirmé.
Candidat ou pas candidat : sa décision est prise #
Selon le polémiste, « Depuis 10 ans, on ne cesse d’emmerder les Français avec les taxes, les voitures qui n’entrent plus dans les grandes villes. (…) Plus l’État est faible avec vrais délinquants, les trafiquants, les types qui font des rodéos motorisés dans les banlieues, plus il est dur avec les automobilistes, véritables vaches à lait ». Il souhaite de même mettre fin au droit accordant aux maires le privilège d’imposer les 30 km/h dans les villes comme « Anne Hidalgo qui rend la vie impossible aux Français ».
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En ce qui concerne sa candidature, sa « décision est prise », et dans sa tête, alors qu’il se réserve le droit de communiquer là-dessus. Refusant de se déclarer à nouveau ce dimanche, il assure néanmoins que s’il y va, « c’est pour gagner ».
Coup de flèche décoché à sa concurrente de droite : la candidate soutenue par le Rassemblement national. « Marine Le Pen a enfermé ses électeurs dans un ghetto politique. Voter pour elle ne sert à rien. Elle ne peut pas gagner la présidentielle, car elle ne veut pas s’allier avec une partie de la bourgeoisie », a-t-il lancé.
Il revient alors sur sa candidature qui est une décision « qui murit [sa] tête. Quant à Marine avec qui elle se trouve au coude à coude dans les sondages, « elle ne peut pas gagner », et « voter pour elle ne sert à rien ».